Najia, Ou LApprentissage De LAdultère (8Ème Partie)
Cette nuit-là javais eu beaucoup de mal à mendormir. Et même quand je mendormis, mon sommeil fut très agité et plein de rêves bizarres. Des rêves pleins dhommes blonds avec de grosses quéquettes qui me défonçaient de partout. Au petit matin, je me réveillai avec encore en mémoire le dernier rêve que javais fait : jétais avec Frédéric mon premier amant européen qui me tirait à la hussarde en me parlant dans une langue que je ne comprenais pas. Une langue à consonance germanique ! Javais la chatte qui coulait et les nerfs à fleur de peau. La nuit ne mavait pas apaisée, ni même reposée. Mon beau viking était en moi, toujours présent. Cétait comme sil était incrusté en moi. La formule «je lai dans la peau ! » ne quittait plus mon esprit. Je faisais une vraie obsession sur lui : il me le fallait absolument.
Javais décidé que ce jour là, jallais mettre le grappin sur mon viking et moffrirai à lui. Je passais le reste de la matinée, après le départ de Rachid pour sa séance de pêche quotidienne, à échafauder plein de stratagèmes pour arriver à mettre le beau blond dans mon lit. Je pensais à tous les moyens que je pouvais utiliser pour éloigner lhomme de sa compagne et lattirer dans ma chambre. Tout y passa, y compris les projets les plus puérils, comme faire semblant de tomber et de mêtre foulée une cheville pour me faire accompagner par lui jusque dans ma chambre. A chaque fois, je fus consciente de labsurdité du plan et cherchai immédiatement autre chose.
Et puis, je décidai dy aller à linstinct. Cétait certainement ma meilleure arme. Je repris donc ma place sur le transat, toujours vêtue de mon petit bikini noir, et toujours un livre à la main. Moins dune demi-heure plus tard, le couple arriva et sinstalla dans les mêmes transats en face de moi. Et le manège de la veille reprit presque de la même manière. Je regardais lhomme avec effronterie droit dans les yeux ; et lui regardait dabord entre mes cuisses, avant de me regarder dans les yeux et de me sourire dun air toujours aussi moqueur que la veille.
Je marchais doucement en dandinant des fesses pour mieux aguicher lhomme, qui continuait de mobserver avec le même regard concupiscent que la veille. Arrivée devant lentrée du hall de lhôtel, je marrêtai et me retournai discrètement, pour voir ce que faisait lhomme. Je priais le ciel, pour quil se lève, invente une histoire à sa femme, et vienne me rejoindre. Il était toujours entrain de me regarder, avec des yeux brillant de désir. Il menvoya une illade, quaussitôt, jinterprétai comme une invitation à lattendre à lintérieur. Je pénétrai dans le hall et me dirigeai vers les ascenseurs. Javais le cur qui battait très vite. Javais peur davoir mal compris et de mêtre montée un scénario à dormir debout. Javais peur que lhomme ne vienne pas. Jétais pourtant sûre quil me voulait et quil ne désirait quune seule chose: me tirer ! Mais peut-être quil ne pouvait pas quitter comme cela sa compagne, pour une heure ou deux ! Peut-être que la blondasse avait tout compris et quelle allait empêcher son homme de sen aller rejoindre larabe ! Peut-être
Jen étais là à me poser des tas de questions, quand je le vis apparaître, beau comme un Dieu, sur le seuil du hall, avec la lumière du soleil derrière lui qui sculptait son corps dathlète et le rendait encore plus désirable. Il ne portait que son short de bain ! Je sentis mon cur battre à toute allure: de joie ! Javais même failli courir vers lui pour le prendre par la main et le faire avancer plus rapidement. Jétais impatiente quil soit à côté de moi. Je voulais le toucher, le caresser, sentir lodeur de sa peau. Je me retins pourtant et fis même semblant dêtre étonnée de le voir sapprocher de moi et me prendre la main pour la porter à sa bouche.
Je le laissai faire, toute tremblante, sans même me soucier de ce que pouvait penser le personnel de lhôtel, qui connaissait parfaitement ma situation de femme mariée. Nous ne parlâmes ni lun ni lautre. Nous continuâmes à nous tenir par la main. Je sentais la douce chaleur de la sienne qui pénétrait en moi et irradiait jusquà mon bas-ventre et à ma chatte qui commençait à frémir. La porte de lascenseur souvrit; nous y pénétrâmes rapidement et lhomme tendit les bras pour menlacer. Je me laissai faire, en me lovant tout contre lui et en frottant mon ventre contre son sexe que je sentais frémir et grandir sous son short de bain. Il me semblait avoir une taille énorme. Il bougeait ses hanches pour accompagner les mouvements de mon ventre contre son engin. Je le regardais sourire aux anges, tant il appréciait la sensation de frottement. Il me serrait la taille et commençait même à entamer un mouvement de hanches comme sil voulait me baiser comme cela par le ventre. Je sentais le gland chaud du sexe qui avait trouvé le moyen de sortir en partie par-dessus la bande élastique du short et venir frotter la peau nue de mon ventre. Cétait divin ! Malheureusement, cela ne dura pas.
Lascenseur venait de sarrêter et nous dûmes nous séparer, de peur de rencontrer quelquun en sortant. Je repris sa main dans la mienne et tirais fébrilement sur elle pour lentraîner jusque devant la porte de la chambre que nous occupions Rachid et moi. Jy pénétrai la première et me retournai pour bien observer lhomme qui était entré derrière moi et qui navait à aucun moment lâché ma main. Je ne savais pas quoi lui dire, mais je men fichais absolument. Il était là avec moi, dans la chambre et il ny avait que cela qui comptait vraiment. Nous ne dîmes rien pendant quelques secondes. Ce fut lui qui parla le premier. Il parlait, avec un accent à couper au couteau, un français assez correct.
- Tu es marocaine nest-ce pas !
- Non, mais cest tout comme : je suis algérienne ! Tu es déçu ? Tu naimes que les marocaines ? Pourtant, je ne crois pas me tromper en disant que je te plais beaucoup ! Que depuis hier, tu ne penses quà me faire lamour ! Tu avais tellement envie de me baiser, que cen était indécent ! Tout le monde a dû comprendre que tu désirais me tirer ! Ta femme comprise !
- Déçu, moi ? Au contraire ! Tu me plaisais déjà énormément quand je pensais que tu étais marocaine.
- Je te plais ?
- Tu es vraiment belle ! Et je suis sûr que tu es prête à faire plein de folies avec moi ! Que tu es un superbe coup au lit !
- Pas de lit ! Par terre ! Je naime pas ce qui est classique ! Moi je veux de lintensité, de la force et de la puissance ! Montre-moi que tu es un homme! Fais-moi grimper au septième ciel !
Je ne sais vraiment pas pourquoi javais réagi de la sorte. Pourquoi je voulais quil me baise par terre, alors que dans la chambre, il y avait un immense lit très confortable, fait spécialement pour recevoir les ébats amoureux les plus torrides. Peut-être pour indiquer à mon homme que jétais une femme spéciale, avec des goûts et des exigences spéciaux.
- Tu aimes la force salope ! Et bien je vais ten donner de la force ! Toutes les femmes que jai baisées jusquici ont aimé la force de mon gourdin ! Et toi aussi tu vas laimer !
- Arrête de te vanter et baise-moi ! Par terre ! En levrette ! Je veux avoir mal ! Je veux sentir la puissance de ton zob !
Lhomme mattira contre lui et commença frotter son pubis contre mon ventre. Je lui échappai en me laissant tomber sur les genoux. Jan je venais dapprendre quil sappelait comme cela - pensa que je voulais sortir son sexe du short quil portait, pour lui faire une fellation denfer. Il en paraissait tout heureux. Jallais le sucer ! Mais moi je ne voulais rien de tout cela.
Jan comprit quil avait affaire à une originale. Il ne sen offusqua pas. Bien au contraire, il sentait quavec moi, il allait connaître des sensations très fortes. Des sensations quil navait encore jamais connues jusque là. Il se mit à genoux derrière moi et posa sa grosse paluche sur mes fesses offertes à sa concupiscence. Il tata quelques secondes une fesse, puis lautre, puis se décida de passer à laction. Il plongea sa main entre mes fesses et la fit descendre vers ma chatte, encore prisonnière de la petite culotte du bikini. Il frotta vigoureusement sur le tissu, me faisant pousser un petit cri de douleur. Il mavait fait mal. Cela augurait pour moi dune belle séance où la douleur se mêlerait étroitement au plaisir. Une pensée furtive me traversa lesprit : jétais entrain de virer masochiste ! Et alors ?
Je voulais du plaisir ; et la brutalité dont faisait preuve lhomme qui était derrière moi, était un gage absolu de plaisir. Il continua un moment à frotter vigoureusement ma chatte avec sa main, à travers le tissu, puis arrêta soudainement le mouvement, pour marracher la culotte. Jentendis un bruit de déchirement de tissu et compris que le viking (je continuais à lappeler comme cela, même après avoir appris quil était néerlandais et non pas danois ou suédois) avait carrément déchiré ma culotte. Jétais aux anges ! Une vraie brute ! Un véritable homme des cavernes ! Un taureau ! Jen bavais de plaisir. Jattendais maintenant la suite des évènements. Jattendais de sentir le gland dune superbe queue se poser à lentrée dun de mes trous et le défoncer à la hussarde, sans précaution et sans lubrification. Jattendais avec impatience la douleur que jallais ressentir au cours de cette première pénétration. Jen jouissais par avance !
Et il me pénétra ! Javais senti la grosse paluche de lhomme semparer de ma hanche droite et en même temps le gland dur et doux se poser une fraction de secondes entre mes grandes lèvres, guidé par lautre paluche. Celle-ci vint ensuite se poser sur ma hanche gauche. Les deux bras se mirent à tirer ensemble, pendant que le bassin de lhomme entreprit une forte poussée vers lavant. Lengin, que je ne voyais pas, me paraissait dune longueur et dune grosseur phénoménales. Jen ressentais la force et la puissance, au moment où il me pénétra et se mit à faire des allers-retours furieux dans mon vagin, limant violemment la paroi du tunnel. Il me faisait vraiment mal. Mais quelle magnifique douleur ! Une douleur qui me brulait le vagin et qui lui faisait produire des litres de cyprine. En même temps, jétais à lécoute des ahanements du mâle derrière moi et du bruit indécent des clapotis que faisait le manche en allant et venant furieusement dans mon vagin.
La chaleur, le bruit, les cris de lhomme derrière moi, tout cela me faisaient monter petit à petit vers le septième ciel. Vers le paradis ! Lhomme ne disait rien en me tirant. Je sentais seulement ses mains qui mécrasaient les reins et qui tiraient violemment sur eux. Je sentais limmense engin sortir à quelques centimètres de ma chatte, attendre une fraction de secondes comme sil admirait le spectacle du gros zob qui frémissait denvie de retourner dans son nid et repartir plus fort et plus brutalement encore. Javais envie de lui crier que jadorais ce quil me faisait. Mais jhésitais encore à dire quoi que ce soit. Je me contentais de pousser, à chaque violente pénétration, un long cri, qui était un mélange de douleur et de plaisir.
Lhomme continuait de pousser des han de bûcheron, à chacun de ses coups de reins. Je commençais à lentendre prononcer des mots que je ne comprenais pas il parlait en néerlandais, certainement. Puis ses mots devinrent de plus en plus audibles et de plus en plus sonores. Jen comprenais quelques uns, quand il essayait de parler en français. Mais la signification de tout le reste méchappait totalement. Mais quimporte ! Lessentiel était quil montrât toute sa satisfaction de me niquer ainsi comme une chienne !
- Bon !!!! Bonne chatte ! Douce ! Très douce ! Bon pour gros zob ! Bon pour gros zob de Jan !
- Zid hakdha ya tehhan ! Zid edjbedni bezzour ! Zid kessarli hatchouni! Zid dekhal zebek fi hatchouni! Kesrouh ! hadmouh ! Woudja3ni ! (Continue comme ça salaud ! Continue de me tirer en force ! Continue à me casser la chatte ! Continue de me mettre ton zob dans la chatte ! Casse-la ! Démolis-la ! Fais-moi mal !)
Je ne pouvais pas mempêcher de parler en arabe et de hurler mon plaisir. Je voulais que non viking comprenne que jadorais le force et la puissance du mâle ! Je voulais quil me traite brutalement ! Mais je ne savais pas comment le lui faire comprendre. Je lui disais en français :
- Je suis une chienne ! Dis-moi que je suis une chienne ! Que je suis ta chienne ! Dis ! Dis-le ! Dis-le ! Chienne !
- Jaime chienne! Chienne ! Chienne! Ahhhhhh ! Jouir ! Jouiiiiir !
Et effectivement je sentis lhomme se cabrer et rester un moment sans bouger, comme sil essayait de retenir une éjaculation qui arrivait avec la force dun torrent. Je compris quil voulait que je jouisse en même temps que lui. Moi aussi je sentais venir un orgasme violent. Je voulais le lui faire savoir, pour quil ne se retienne pas et quil poursuive les allers-retours brutaux de son manche dans mon vagin, avec la même vigueur et un rythme plus rapide. Jessayais de le lui faire comprendre en accompagnant ses va-et-vient par un mouvement tournant de mes hanches.
- Zid ! Zid hakdha ! Zid fi sour3a ! Zid fe-ezzour ! Rahi djaya ! Djaya ! Rani tal3a fe-sma ! Ahhhhhh !!!!! Djayaaaa !!!!!! (Encore ! Encore comme ça ! Plus vite ! Je vais décharger ! Je vais jouir ! Je vais monter au ciel ! Ahhhhh !!!!!!! Ahhhhhh !!!!!!! Je jouiiiiiiiiiiis ! )
Et jeus un immense orgasme. Je sentis ma tête partir dans tous les sens. Je narrivais plus à contrôler ses mouvements. Et je narrivais pas à retenir la salive qui coulait en quantité de ma bouche. Ma respiration devenait haletante ; jétais au bord de lévanouissement Et je continuais un long moment à crier tout le plaisir que je prenais. Mon homme, rassuré par lorgasme que je venais davoir, accéléra le rythme des allers-retours de son manche dans mon tunnel. Et soudain, il poussa un long rugissement qui fit trembler toute la chambre et, tout en continuant ses furieux coups de reins, éjacula à lintérieur de mon vagin, une longue, très longue, giclée continue dun sperme brulant, abondant et visqueux. Moi, vaincue et à bout de souffle, je continuais - deux tons plus bas à exprimer tout le plaisir que je finissais de prendre, sous le furieux pilonnage de ma chatte par le monstre du viking.
Il sarrêta enfin de tirer sur mes reins et ralentit le rythme de ses va-et-vient dans mon vagin humide et brûlant. Puis il arrêta tout mouvement et sortit le membre encore en érection de ma chatte. Je sentis que lhomme, malgré la grosse jouissance quil venait davoir, était encore dattaque et je jubilais à la pensée de ce qui allait suivre. Il était étrangement silencieux et cela aiguisa ma curiosité. Je tournai la tête pour voir ce quil était entrain de faire derrière moi. Sans pouvoir le voir complètement, je vis quil était entrain de contempler le spectacle de ma chatte qui dégoulinait de son sperme blanc et visqueux. Un spectacle qui semblait lexciter au plus haut point. Et le spectacle de lhomme entrain de sexciter à regarder ma chatte laissant fuir tout le sperme quil y avait éjaculé, mexcitait moi aussi au plus haut point. Je ne pus mempêcher de le lui dire.
- Salaud, ça te plait de bander sur ma chatte qui dégouline de foutre ! Et mon cul, il ne te fait pas bander lui aussi ? Regarde-le comme il palpite ! Il veut sa part !
Je nétais pas sûre quil comprenait totalement ce que je lui disais en français. Mais jétais certaine quil devinait ce que je voulais quil me fasse maintenant. Je voulais quil mencule de la même manière quil mavait baisée par devant : brutalement ! Mais pour massurer quil allait bien me faire ce que je voulais quil me fasse, je lançai ma main vers mon anus et me mis à le branler avec un doigt. Puis jy introduisis deux doigts, que je faisais tourner à lintérieur. Ainsi, il ne pouvait pas ne pas comprendre
- Wach testenna bach te-hedem-li ga3ri beyed ell mahraz enta3ek ? Ma testenach ! Ma tekhilnich nestena ! Dekhel hou-li melour ! Nik-ni melour ! Ezrab ! (Quest-ce que tu attends pour me défoncer le cul avec ton pilon !) Allez nattends plus ! Ne me laisse pas attendre ! Nique-moi ! Encule-moi ! Vite ! )
Il navait certainement pas compris un traitre mot de ce que je lui disais dans ma langue, mais je savais que le geste de me branler le cul, lui, était très clair. Tellement clair, quil nattendit plus une seule seconde pour positionner le gland de son magnifique zob sur lanneau de mon anus. Comme la voie était ouverte depuis bien longtemps, il neut donc pas de mal à me pénétrer dun seul coup. Son sexe glissa lentement et longuement jusquau fond du rectum. Je sentis immédiatement toute la puissance de lengin qui pénétrait ainsi dans mon boyau et celle des reins qui le poussaient. Javais un peu mal, mais la douleur nétait pas assez forte pour me faire crier. Je voulais quil y mette plus de brutalité et je le lui dis.
- Plus fort connard ! Montre-moi ta force ! Vas-y ! Naie pas peur de me faire mal !
Je lui parlais en français, alors que javais envie de crier mes insanités en arabe pour le mettre en colère et le pousser à y aller encore plus brutalement et plus fort. Je voulais lui crier quil nétait qu « 3attaye » (un pédéraste), un « tehhan » (un cocu ») un « rkhiss » (un salaud). Il devinait ce que je voulais et serra encore plus fort ses mains sur mes reins, en y plantant ses ongles, il sortit totalement de mon cul pour prendre de lélan et repartit furieusement à lassaut de mon rectum. Maintenant, je sentais vraiment toute la puissance de lengin qui me pénétrait et qui essayait de me défoncer le fion.
- Wadja3ni, ya rkhiss ! Wadja3 Najia ! Kesssarli trami ! Kasserli ga3ri ! Bghit en-hess ga3ri yewdja3ni moundou char ! Hata ma nendjemch ne gou3ad a3la trami ! Zid edjbed-ni hakdha ! (Fais-moi mal espèce de salaud ! Fais mal à Najia! Démolis-moi les fesses ! Démolis-moi le cul ! Je veux sentir que mon cul me faire mal pendant tout un mois! Jusquà ne plus pouvoir massoir sur mes fesses ! Continue de me tirer comme ça !)
Jan qui avait maintenant parfaitement compris ce que je voulais quil me fasse, tout en continuant luvre de démolition de mon cul, lança sa main droite entre mes cuisses, à la recherche de ma chatte. En se contorsionnant un peu, il fit pénétrer trois doigts entre mes grandes lèvres et se mit à farfouiller à lintérieur de mon vagin. Immédiatement, je sentis la différence. Je sentais le gros zob qui continuait de pilonner mon cul et qui rencontrait les doigts qui farfouillaient à lintérieur de ma chatte. Quelle merveilleuse sensation !
- Mlih ! Zidli hakdha ! Zid ! Zid ! (Cest bon ! Continue comme ça ! Encore ! Encore !)
Et lhomme, encouragé par mes cris de plaisir et les mots que je lâchais sous leffet de lexcitation, y alla avec de plus en plus de vigueur et de brutalité. Les doigts quil avait plongés dans mon vagin farfouillaient violemment lintérieur du tunnel inondé de mouille et de sperme et provoquaient des clapotis impudiques. Son sexe qui allait et venait à lintérieur de mon cul, rencontrait à chaque va-et-vient les doigts qui essayaient de lattr. Il se rendait compte quà chaque fois quil essayait dattr son manche à travers les fines parois du vagin et du rectum, il me faisait très mal. Il mentendait pousser un petit cri de douleur.
Je continuais de lencourageait à y aller toujours plus fort. Je lui criais, en arabe et en français, que jétais au paradis avec son gros zob dans le cul et ses doigts dans le vagin. Et maintenant, je hurlais de plus en plus fort. Jan, ne savait pas si cétait parce que la douleur était insupportable et que je voulais quil arrête, ou parce que je prenais vraiment du plaisir à la douleur quil minfligeait. De toutes les façons, dans létat dexcitation maximale dans lequel je lavais mis, il se fichait totalement de savoir pourquoi je hurlais ainsi et continuait à bombarder mon cul toujours plus intensément. Il sortait totalement son engin de mon anus, regardait le trou se refermer légèrement et le replongeait très profond, en poussant un râle de plaisir. Et chaque fois quil croisait les trois doigts qui farfouillaient toujours dans mon vagin, il sentait comme une légère décharge électrique qui accroissait encore plus lintensité du plaisir quil prenait avec moi. Il sentait venir un orgasme dune force encore plus grande que celle de tout à lheure. Il ne pouvait rien faire pour le retarder. Il aurait bien voulu que sa jouissance soit accompagnée de la mienne, mais il savait quil ne pourra absolument rien faire pour retarder léchéance et attendre que jaie moi-même un orgasme.
Il poussa un long cri de plaisir et éjacula à lintérieur de mon cul une première giclée chaude et visqueuse que je ressentis comme une délivrance. Comme si je nattendais que cela, je poussai moi aussi un long hurlement et déchargea i dans la main de mon amant une grosse quantité de cyprine, qui augmenta encore la sonorité des clapotis que faisaient les doigts de lhomme dans mon vagin. Javais la bouche largement ouverte pour pouvoir mieux respirer et aussi pour laisser couler toute la bave que je produisais et qui allait se répandre sur le carrelage. Et Jan continuait de me tirer et de me branler la chatte. Il éjacula encore trois fois et retira son engin, encore en érection, de mon cul. Mais il avait laissé ses doigts à lintérieur de mon vagin et continuait de les faire aller et venir furieusement attendant que je finisse de jouir.
Puis, il saffala sur mon dos pour essayer de reprendre son souffle. Moi, jétais complètement groggy, mais tellement heureuse ! Javais atteint le nirvana des amants ; ce moment de totale béatitude, que rien au monde ne pouvait déranger. Nous restâmes ainsi de longues minutes, Jan affalé sur mon dos et moi, toujours à quatre pattes, le cul relevé au maximum et la joue posée par terre. Ce fut lui qui se leva le premier, me laissant dans la même position. Il vint se mettre à genoux devant moi, me tira violemment par les cheveux pour me faire redresser la tête et amener ma bouche au niveau de son sexe, toujours dattaque.
- Suce salope ! Suce le zob de Jan ! Nettoie le zob de Jan ! Le Zob de Jan dans ta grande bouche !
Je voulus protester. Mais lhomme me tenait toujours par les cheveux et tirait dessus pour me faire mal. Il voulait se faire sucer la bite et il allait se faire sucer la bite ! Je ne pouvais quobéir à mon maître. Je nétais pas de taille à lutter avec lui. Et puis, je navais vraiment aucune envie de lutter contre lui ! Au contraire, je voulais avoir une nouvelle expérience. Une expérience que je navais encore jamais eue avec mes amants précédents et mon mari. Jattrapai donc avec deux doigts le manche, encore en érection.. Jeus tout dabord un imperceptible geste de recul, en constatant quil avait une odeur pas très agréable, quil était encore dégoulinant de sperme et quil était totalement enduit du produit de mes sécrétions anales. Puis javançai la tête pour lécher le bout du gland encore tuméfié.
Jeut une espèce de haut-le-cur instinctif devant la forte odeur dexcréments qui se dégageait du zob, mais la main puissante de mon homme mempêcha de quitter lendroit et me força à y aller franchement. Je me mis donc à lécher le gland, en essayant de recracher par terre le sperme et autres sécrétions. Mais Jan ne lentendait pas de cette oreille. Il tira très fort sur mes cheveux et mordonna :
- Avale sale pute! Avale tout !
Je ne pus faire autrement que de lécher et avaler tout ce que ma langue récoltait sur le magnifique membre de lhomme. Et puis, une fois de plus tout bascula. Je tenais fortement le manche dans ma main et tout en promenant ma langue sur lui, je ne pouvais mempêcher dadmirer sa beauté. Il avait maintenant complètement débandé. Mais même au repos, je le trouvais gros et long. Et beau ! Il était lisse et sans aspérité. Et parfaitement entretenu ! Il était complètement épilé. Les seuls poils quil avait, étaient aussi blonds que ses cheveux et se situaient sur son pubis. Ils ajoutaient encore de lharmonie à lensemble. Je sentais le désir revenir à toute vitesse. Javais arrêté de le lécher (dailleurs il était redevenu propre !) et javais commencé à le caresser tout doucement pour le réveiller.
Jétais émerveillée en voyant lénorme gland, qui avait disparu sous la peau du prépuce, réapparaître soudain, plus arrogant et tuméfié quavant. Il avait la forme dune tête de champignon, large et pointue. Il était magnifique ! Je sentais le désir continuer de monter en moi et devenir irrépressible. Je venais pourtant de jouir deux fois de suite. Mais jen voulais encore. Je voulais regarder le monstre prendre possession de ma chatte; je voulais le voir entrer et sortir; je voulais voir le maître occuper tous mes trous ! Jai toujours adoré regarder entrer et sortir lengin qui était entrain de me posséder. Jen tirais chaque fois un supplément de plaisir. Je me levai et pris Jan par la main pour lemmener sur le grand lit qui se trouvait au bout de la pièce. Je mallongeai sur le dos en travers du lit, soulevai mes jambes et les repliai de part et dautre de ma poitrine. Je présentais ainsi à lhomme qui regardais, avec de la bave au coin des lèvres, mes deux trous encore luisant de mouille.
- Nik-ni mnin bghit ! Melgoudam oula melour ! Bghit en-chouf fou ki yedkhoul ou yekhroudj ! Ezreb, arouah ! Ma negderch nestena ! (Baise-moi par où tu veux ! Par devant ou par derrière ! Je veux le voir entrer et sortir ! Viens vite ! Je ne peux plus attendre ! )
Je continuais de lui parler en arabe. Il ne comprenait pas, mais il devinait parfaitement ce que je voulais. Dailleurs dans la position dans laquelle jétais, il ne pouvait pas se tromper sur mes intentions. Il sapprocha de moi, prit son sexe dans une main et positionna le gland entre mes grandes lèvres. Il avait choisi de me baiser par devant. Il y allait lentement, comme pour me laisser le temps de bien regarder et dadmirer le spectacle. Je regardais lengin qui me pénétrait lentement et qui allait loin, très loin, dans mon tunnel. Je voyais les couilles, contractées et dures comme de la pierre, avancer et venir cogner contre mon anus. Jattendais impatiemment de voir lensemble repartir et sortir complètement de ma chatte, puis revenir réinvestir lendroit, la seconde daprès. Je le sentais - fort et puissant - semparer de mon vagin et frotter durement contre la paroi. Je ressentais toute la chaleur du monstre qui me limait violemment et qui me brûlait le boyau. Mais surtout, je le voyais entrer et sortir de plus en plus vite.
Jétais aux anges et voulais que cela dure longtemps. Très longtemps ! De temps en temps, je levai les yeux pour voir mon amant. Il me tirait en me tenant avec ses immenses mains par-dessous les reins. Il avait le visage complètement rougi par leffort et les mâchoires serrées. Ses lèvres étaient entrouvertes et je les voyais bouger au rythme de ses coups de boutoir dans mon vagin. Je le sentais au bord de lapoplexie. Il poussait à chaque pénétration un long rugissement qui ne sarrêtait que quand le monstre atteignait le fond et que son bassin cognait contre mes fesses. Les rugissements quil poussait augmentaient dintensité à chaque nouvelle pénétration. Je savais quil nallait pas tarder à avoir un nouvel orgasme et je voulais moi aussi avoir le mien.
Jenvoyai mes bras en lavant pour attr la taille de Jan et tirer sur elle pour lobliger à aller encore plus loin en moi. Je ne disais rien, mais poussais moi aussi des grands cris de plaisir à chacune des pénétrations. Je sentais arriver jouissance. Je connaissais très bien cette sensation du plaisir qui dévalait très fort et qui minondait complètement. Cette sensation dêtre sur le point de mévanouir et de voir les choses tournoyer autour de moi et me donner le vertige. La sensation aussi dêtre sur point d, tant ma respiration était rapide et que jétais en manque dair. Et surtout, je savais quau bout, il y avait la délivrance de lorgasme.
Jeus en effet, en même temps que Jan éjaculait en hurlant ce qui lui restait de foutre, un orgasme très fort. Aussi fort que les deux autres. Je sentis une onde de plaisir intense se déclencher au fond de mon utérus et aller, en cercles concentriques, dans mes entrailles les plus profondes et monter jusque dans mon cerveau. Quand je jouissais, javais remarqué que ce nétait pas seulement mon corps qui prenait du plaisir ; mon cerveau lui-même était comme par la jouissance. Et jadorais cette sensation de ne plus savoir où jétais, ainsi que le doux engourdissement qui suivait mes orgasmes et qui duraient longtemps.
Jan complètement harassé et le zob en bandoulière (il avait fini par ramollir totalement et pendre, encore dégoulinant de sperme et de cyprine, entre ses cuisses) se laissa tomber à mes côtés sur le lit. Il avait vraiment du mal à retrouver sa respiration et même ses esprits. Et moi, qui nétais pas dans un meilleur état, mis moins de temps que mon amant à reprendre mes moyens. Je savais quil était temps que mon amant quitte la chambre et aille rejoindre sa bimbo. Jaurai voulu quil reste avec moi le plus longtemps possible. Je voulais le revoir. Je voulais que nous recommencions.
Je mapprochai de lui et lui donnai un petit baiser sur les lèvres. Il ouvrit les yeux et menvoya un sourire éclatant qui semblait me remercier pour le plaisir que je venais de lui donner. Il tendit les bras pour mattirer contre sa poitrine et, émue, je me laissai faire. Je me surpris à ronronner daise, comme un petit chaton repu. Je faillis même mendormir entre les bras de mon amant, tant je me sentais bien. Ce fut lui qui mit fin à ce moment de bonheur. Il se leva et me dit :
- Il faut que je parte ! Marja va se demander où je suis passé ! Demain, je reviens ! Tu veux ?
- Ouiiiiii! Mentendis-je répondre, avec un empressement que pourtant je ne voulais pas lui montrer.
Notre relation dura tout le temps que Jan et Marja était en vacances à Essaouira. Nous nous rencontrions pratiquement tous les après-midis et faisions lamour comme des bêtes. Et bien entendu, jen faisais chaque nuit, un compte-rendu détaillé à Rachid. Compte-rendu et traces de souillures sur moi, qui le rendaient fou de désir et qui lui donnait une puissance de taureau presque toute la nuit. Je crois être vraiment devenue une nymphomane tant jétais devenue insatiable. Entre Jan et Rachid, je devais me faire tirer cinq à six fois par jours. Et jen redemandais !
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